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Différente met en lumière un sujet encore largement méconnu et jamais montré au cinéma : le diagnostic tardif de l’autisme chez les femmes. Le film est le point de départ d’une campagne d’impact ambitieuse en faveur d’une meilleure reconnaissance et prise en charge des neuroatypies. Visant à faire évoluer le regard de la société et à impulser des diagnostics plus précoces et une meilleure inclusion en entreprise, elle s’est notamment déployée à travers une tournée d’avant-premières et de projections-débats animées par des associations, experts et personnes concernées.

Dans le village de Numbi, au Sud-Kivu, habitants et enfants extraient à mains nues le coltan, au cœur d’un quotidien marqué par la guerre et la précarité. Le Sang et la Boue, documentaire de Jean-Gabriel Leynaud, plonge au plus près de ces vies oubliées pour révéler l’envers de notre confort numérique. La campagne d’impact associée prolonge le film à travers projections-débats, ressources pédagogiques et partenariats avec ONG et acteurs engagés.

La campagne d’impact du film “Les Esprits Libres” propose d’aller plus loin sur les sujets forts abordés par le documentaire : la prise en charge de la maladie d’Alzheimer, les méthodes de soin alternatives adaptées aux grands aînés, le rôle des aidants, la réflexion sur l’EHPAD de demain et le vivre-ensemble. Elle vise à transformer l’émotion du film en un mouvement citoyen et politique pour repenser l’Ehpad de demain. L’objectif : montrer qu’un autre soin est possible, plus humain, créatif et axé sur le bien-être plutôt que la seule médication.

Le film Holà Frida est un outil puissant pour sensibiliser le public aux réalités du handicap et à l’importance de l’inclusion. En mettant en lumière l’enfance de Frida Kahlo, le film offre un parallèle avec les défis que les enfants handicapés rencontrent dans le monde et comment ils surmontent ces obstacles avec courage. Handicap International, rappelle en s’associant à ce film, l’importance de la solidarité internationale et de l’aide humanitaire pour les personnes vivant avec un handicap dans un environnement complexe.

Cette campagne témoigne de l’engagement du réalisateur et de l’équipe du film à protéger le vivant et appeler à des mesures plus ambitieuses pour lutter contre la déforestation et les projets écocides à Bornéo. Le jeune public est invité à s’engager concrètement contre la déforestation (avec Greenpeace France), ou encore en interpellant les grandes entreprises agro-alimentaires productrices d’huile de palme (avec Foodwatch).

Créée main dans la main avec l’association J’accueille, la campagne d’impact propose au public de faire l’expérience de la solidarité montrée à l’écran, en accueillant des personnes réfugiées quelques jours ou quelques semaines, ou en rejoignant des initiatives locales sur l’ensemble du territoire.

La campagne d’impact de « Pourquoi on se bat » propose aux spectateurs et spectatrices de passer à l’action après chaque épisode pour protéger le vivant sur les grands thèmes que sont la protection de l’océan, la lutte contre la fonte des glaces, les modes de déplacement responsables, la lutte pour la justice sociale ou encore l’émerveillement face à la biodiversité.

Créée en collaboration avec 4 partenaires associatifs, acteurs reconnus de la protection et de la préservation de la vie marine (IFAW, Project Rescue Ocean, la Fondation de la Mer, Longitude 181) la campagne d’impact des « Gardiennes de la planète » fait le lien entre les enseignements du film et les menaces qui pèsent actuellement sur les baleines et l’écosystème marin : la pollution plastique, et la pollution sonore.

La campagne d’impact des « Engagés » proposée par la réalisatrice et les associations partenaires (La Cimade, France Terre d’Asile, Ecole pour Tous, Oxfam, Watizat…) appelle à faire évoluer les conditions d’accueil des mineurs isolés étrangers. Ensemble, protégeons les mineurs isolés, demandons le respect de la présomption de minorité !

Alors que l’eau est un bien essentiel, aujourd’hui plus de 2 milliards de personnes n’ont pas accès direct à l’eau potable. Marcher sur l’eau est un film documentaire qui permet d’ouvrir les yeux sur l’ampleur et l’urgence de la crise de l’eau. C’est aussi le point de départ d’une campagne d’impact qui propose aux spectateurs et spectatrices d’agir concrètement pour un meilleur accès à cette ressource indispensable à la vie.

La campagne d’impact du film Nadia a pour mission de donner les clés pour agir aux spectateurs et spectatrices sensibilisé.es par le parcours inspirant de Nadia Nadim, le documentaire et les sujets qu’il aborde, tels que l’exil et ses implications, la condition des femmes en Afghanistan, la résilience et l’insertion des personnes réfugiées.